Voici Comment Biya Utilise Brenda Pour Manipuler le peuple

A l'heure de la crise anglophone, marquée par la rupture d'une partie du peuple camerounais avec le régime gabégique et criminel de Paul Biya sur fond de rejet de la françafrique, sous forme de demande du fédéralisme devant permettre au peuple anglophone de gérer indépendamment ses propres affaires, faute de quoi il se sépare de La République du Cameroun (LRC), Paul Biya utilise la même manipulation habituelle, à savoir occuper les camerounais avec les débats panafricons qui rendent la France responsable de tous nos maux passés, présents et futurs du Cameroun.

Quand ce n'est pas Brenda qui répète dans sa page Facebook les propos qu'elle entend de ses parents, à savoir «pourquoi les camerounais ne parlent pas du problème du franc Cfa?», ce sont des obscures individus que Biya envoie secouer l'épouvantail de la menace française au Cameroun sur la base d'un matériel militaire de l'ONU ayant traversé le territoire camerounais pour la Centrafrique.

Voici Comment Biya Utilise Brenda Pour Manipuler le peuple

Pendant que les populations anglophones sont massacrées par son armée à cause de leur révolte et leur désobéissance civile depuis 2016 contre son système néocolonial ultracentralisé entre ses mains et qui a totalement échoué dans tous les domaines, ce vieux président souhaite que les camerounais débattent pour demander la fin du franc Cfa, alors qu'il lui suffit d'un décret présidentiel pour mettre fin à cette monnaie, et qu'ils débattent sur la menace française contre le Cameroun, alors que c'est la même France qui le soutient en fermant les yeux sur ses crimes, même sur ses assassinats des français.
Visiblement Paul Biya invite les camerounais à haïr publiquement les français, afin d'utiliser une telle haine pour vendre ses services du meilleur protecteur des intérêts français au Cameroun contre le soutien de la France au génocide qu'il exécute actuellement en zone anglophone et au terrorisme d'Etat qu'il a toujours exercé contre le peuple camerounais. La France d'Emmanuel Macront tombera-t-il dans le piège du vieux sorcier camerounais?